Couches jetables ou couches lavables : 4 critères pour faire son choix

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PAR Anne-Laure

Pourquoi hésiter entre les couches jetables ou les couches lavables ? La grande majorité des parents ont choisi les modèles à usage unique. Pourtant une tendance se dessine ces dernières années en faveur de la version lavable. Vous aussi, vous voulez trouver la meilleure manière de garder bébé au propre et votre cœur balance entre les deux options. Mais comment faire votre choix ?

Dans le match qui oppose les couches jetables aux couches lavables, plusieurs critères peuvent intervenir pour prendre votre décision. J’en ai recensé quatre : l’aspect sanitaire, l’aspect financier, l’aspect écologique et l’aspect pratique. Je vous propose de vous présenter les avantages et inconvénients pour chacun. Vous devriez pouvoir vous décider en toute connaissance à la fin de mon billet. Bonne lecture !

L’arbitrage du point de vue de la santé entre couches jetables et couches lavables

Avant de rentrer dans le vif du sujet, je vous propose une petite mise au point sur la composition des couches.

Que trouve-t-on dans une couche jetable ?

Il faut savoir que n’importe quelle couche jetable, écologique ou pas, se compose :

  • d’une partie imperméable composée de plastiques : elle comporte en particulier la barrière anti-fuites, des élastiques à la taille et des fermetures velcro repositionnables.
  • d’une autre absorbante : fabriquée à partir de cellulose (bois) blanchi au chlore (agressif) ou à l’oxygène, elle est en contact avec les fesses du bébé. Cette partie renferme des polymères superabsorbants d’eau (SAP), en particulier du polyacrylate de sodium, capables d’absorber très rapidement jusqu’à 1000 fois leur poids. Ce gel absorbant permet de garder bébé bien au sec. Interdit dans les tampons hygiéniques car considéré comme responsable des chocs toxiques, le SAP est enfermé dans la cellulose. Donc, en théorie, la peau de bébé n’est pas en contact avec ce produit irritant.

Dernière remarque grâce au SAP et son effet bien au sec, l’humidité des couches jetables est moins manifeste, comme masqué. Du coup, on peut avoir tendance à changer moins souvent son enfant, ce qui peut favoriser l’érythème fessier, mais peut-être pas seulement…

En effet, une étude américaine publiée en 2001 portant sur 48 enfants, affirme que la température de la peau des bourses des garçons est supérieure d’un degré Celsius dans les couches jetables. Or cela pourrait avoir des conséquences pour le développement des organes génitaux des bébés garçons. Les auteurs de l’étude insistaient sur la nécessité de creuser et d’étendre à des échantillons bien plus importants ce type d’étude et de voir les répercussions à l’âge adulte. Je n’ai rien trouvé en ce sens pour confirmer.

L’alerte sur les couches jetables

En 2017, le magazine 60 millions de consommateurs a mené une enquête sur 12 marques de couches jetables pour bébé, »conventionnelles ou écologiques ». Ils ont tiré la sonnette d’alarme pour alerter les parents sur le fait que toutes les couches renfermaient des résidus potentiellement toxiques.

Entre des traces de glyphosate ou d’hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), les résultats ont déclenché une prise de conscience des pouvoirs publics. Celle-ci a abouti à la publication d’un avis de l’ANSES en janvier 2019. Son évaluation des risques de la sécurité des couches pour bébé est la première effectuée par une agence de sécurité sanitaire au niveau international. Elle a formulé trois recommandations :

  • Supprimer l’utilisation de toutes substances parfumantes, en priorité celles susceptibles de présenter des effets sensibilisants cutanés.
  • Mieux maîtriser l’origine des matières premières naturelles qui peuvent être contaminées avant même la fabrication.
  • Améliorer les procédés de fabrication des couches.

Dernièrement, l’enquête réalisée par la DGCCRF confirme l’amélioration de la qualité des produits et l’absence de dépassement des seuils sanitaires. Elle a porté sur 32 marques de couches jetables conventionnelles et écologiques. La Direction Générale de de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes a recherché 8 substances suivantes pour réaliser son évaluation.

Les substances potentiellement toxiques recherches dans les couches jetables par la DGCCRF

Cliquez pour consulter les résultats en ligne. Donc d’un point de vue sanitaire, les choses s’améliorent pour les fesses de bébé ! Sur les 32 marques, cinq se distinguent par leur meilleur résultat :

  • Bambou nature
  • Eco by Naty
  • Huggies Little Swimmers 
  • Joone
  • Pampers Harmonie

Enfin, je vous renvoie au comparatif des couches bio réalisé en 2018 par Petite Vivi, un blog que j’ai découvert dans mes recherches pour cet article et que j’ai trouvé bien documenté.

Quid des couches lavables d’un point vue santé ?

De nos jours, le terme couches lavables renvoie à différentes réalités. Je vous les explique un peu plus loin dans mon billet. Du point de vue santé, il faut noter que certaines couches lavables (TE2 et TE3) se composent de plusieurs éléments fabriqués dans différents matériaux. Selon l’élément, les matières utilisées diffèrent.

  • une culotte de protection, à velcro ou à pression. Imperméable ou non, elle est fabriquée en plastique ou en laine. Cette culotte ne se lave pas systématiquement mais plutôt tous les 2 ou 3 changes, et bien sûr dès qu’elle est salie.
  • un absorbant : qui reçoit les urines et excréments. Il est placé dans la culotte de protection. Lui-même est réalisé en matière naturelle (coton, bambou, chanvre…) ou synthétique (microfibre par exemple). Cela peut être un lange, un insert. La couche classique fabriquée en matière naturelle (coton, bambou, chanvre…) ou synthétique (microfibre par exemple) joue aussi ce rôle.
  • un voile de protection : facultatif, il recueille les selles pour pouvoir s’en débarrasser plus facilement quand l’enfant a entamé la diversification alimentaire. Certains sont jetables, d’autres, appelés micropolaires fabriqués en polyester, sont lavables car les excréments moulés n’y adhèrent pas. Les matières fécales peuvent partir dans vos toilettes.
Les couches lavables, une alternative aux couches jetables pour garder bébé au propre
Les culottes de protection des couches lavables

Globalement, on peut avoir confiance sur le fait qu’elles comportent moins de produit toxique. Toutefois je n’ai pas trouvé d’étude précise sur le sujet.

L’arbitrage financier entre couches jetables et couches lavables

Si vous êtes comme beaucoup, plutôt juste niveau financier, il est clair que vous avez des raisons de considérer les couches lavables comme une solution. L’écart est très net entre les couches jetables et les couches lavables, surtout si votre enfant s’avère propre tardivement. Mais ça, vous ne pouvez pas le savoir à l’avance 😂

Je vous renvoie au tableau comparatif en dessous pour voir la différence en monnaie sonnante & trébuchante. L’évaluation sur toute la durée d’utilisation des couches dans la petite enfance place les couches lavables très en deçà. L’écart est encore renforcé si vous optez pour des couches haut de gamme, voire bio, achetées en pharmacie, dans une boutique bio ou en ligne. En gros il faut compter 0,3 à 0,4€ par couches si vous achetez par lot pour bénéficier de l’effet volume.

En fait, l’alternative renvoie un peu à deux manières d’appréhender l’achat :

  • vision « charges courantes » avec les couches jetables : faible coût à court terme mais une fortune sur la durée (vision cumulée) ;
  • vision « investissement » avec les couches lavables : un budget à prévoir pour s’équiper, au départ ou au fur et à mesure, mais réutilisables d’un nouveau-né à l’autre ;

De là à dire qu’il y aurait un lien une propreté tardive et une facilité à changer son bébé avec des couches jetables… je ne le franchirai pas mais on peut s’interroger. Dans les pays les plus pauvres où il fait chaud, les bébés laissés « fesses à l’air » ou avec des vêtements coupés à l’entre-jambe sont souvent propres plus tôt que dans les pays occidentaux. On y pratique l’hygiène naturelle infantile (HNI) qui consiste à écouter et observer son enfant, pour lui permettre d’éliminer ses urines et ses selles sans couche. Aussi parce que dans ces pays, on n’a pas le budget pour les couches. CQFD !

Couches pour bébé : sont-elles toxiques ? - La Quotidienne

L’arbitrage du point de vue écologique sur le choix entre couches jetables et couches lavables

Il y a clairement ici un enjeu considérable qui est bien résumé par le tableau ci-dessous. Il s’agit d’une étude de 2012 qui n’a pas encore été réactualisée. Globalement pour le changement climatique, la question peut se discuter selon la manière dont les couches lavables sont lavées.

Comparaison entre l'impact des couches jetables et des couches lavables
Comparaison entre l’impact des couches jetables et des lavables (source : ADEME 2012)

Certaines marques de couches « écologiques » indiquent fabriquer en France à partir de cellulose issue de forêts européennes bien gérées certifiées FSC. Je n’ai aucun doute qu’elles cherchent à mieux produire. C’est mieux que rien. Mais soyons pleinement conscients que la fabrication reste marginale dans l’impact des couches pour la planète. Le problème se situe bien ailleurs…

Pour la production des déchets, il n’y a pas photo. C’est une catastrophe ! 😭 Plus de 3 fois plus de déchets avec les couches à usage unique qu’avec les couches lavables.

Je vous propose un petit calcul rapide. On tourne en gros à 750 000 naissances par an en France. Estimons que 90% des enfants portent des couches à usage unique. Chaque année, ce sont près de 675 000 bébés à garder au propre en mode jetable. La moyenne s’établit aujourd’hui à 4500 couches à usage unique sur une vie de bébé (en gros 3 ans). Tout ceci produit plus de 400 millions de couches de déchets annuels… après quelques heures d’usage. Cela représente 2 à 4% de nos ordures ménagères chaque année selon France Nature Environnement.

En complément, je ne peux que vous encourager aussi à pousser votre interrogation sur les lingettes lavables pour bébé. Sacrée source de pollution évitable et sacrée économie aussi !

L’arbitrage du point de vue praticité entre couches jetables et couches lavables

Diversité des couches lavables

Il faut avoir en tête que l’expression « couches lavables » cachent des modalités de fonctionnement très différentes.

Pile de couches lavables sur un table à langer
Les couches lavables, une alternative aux jetables
  • les langes à plier correspondent au modèle de nos grands-mères. Pour les maintenir, on utilise une attache et il faut une culotte de protection pour que la couche demeure étanche ;
  • les langes à nouer qui disposent de petites ficelles pour faciliter la fermeture de la couche ;
  • la couche classique : à la forme d’un sablier avec des élastiques aux cuisses et à la taille ; elle nécessite l’utilisation d’une culotte de protection pour assurer l’étanchéité.
  • les couches intégrales TE1 ou lavables tout en 1 : ultra-pratiques et similaires aux couches jetables, à chaque change, on lave la TE1 puisque tous les éléments (imperméable et absorbant) sont cousus entre eux ;
  • les TE2 ou couches lavables tout en 2 : ici, la partie absorbante et la culotte de protection sont distinctes. A chaque change, seule la partie absorbante est à nettoyer.
  • TE3 ou couches lavables tout en 3 : la culotte de protection n’est pas imperméable ; c’est alors une nacelle imperméable qui accueille la partie absorbante.

Pour plus de détail, je vous renvoie aux deux supports qui m’ont permis de rédiger cette section : Guide des couches lavables et Grand lexique des couches lavables.

Facilité de mise en place

Dans la tête de beaucoup de parents, les couches jetables remportent encore la comparaison entre ces deux solutions pour garder bébé au propre et bien au sec. Mais c’est surtout par ignorance…

Bébé en train d'être changé avec des couches jetables
Bébé en train d’être changé avec des couches jetables

Comme expliqué, avec les TE1, votre usage n’est pas différent d’une couche jetable, si ce n’est que vous lavez la couche après utilisation. Pour les autres types de couches lavables, leur utilisation nécessite un montage préalable. Cela nécessite un peu de temps, surtout en phase d’apprentissage, et de l’organisation. Il faut avoir votre stock prêt et à portée de main pour dégainer dès que le besoin se fait sentir ! C’est encore plus le cas pour les couches de nuit, qui nécessitent souvent d’ajouter une couche d’absorbant (ou booster) supplémentaire.

Du coup, on ne peut pas vraiment trancher clairement en faveur des jetables. Le côté pratique des couches lavables dépend du modèle que vous adoptez (et parfois aussi mixez)

Facilité de suivi de l’évolution morphologique de l’enfant

Les couches jetables sont certainement la version qui cherche le plus à coller à l’évolution morphologique du bébé. Du coup, on compte un très grand nombre de tailles différentes : de la taille 0 à la taille 6 pour les couches jetables. N’oublions pas que ce sont autant de recettes engrangées pour les grands acteurs de l’hygiène pour bébé.

Mais vous auriez tort de penser que l’évolutivité n’est que du côté des modèles jetables. En fait, il existe deux grandes familles de couches lavables

  • Couche lavable à taille unique dite évolutive qui va de la naissance jusqu’à la propreté. Grâce à un jeu de pressions, la taille de la couche varie en hauteur. Cette solution coûte moins cher bien sûr puisque vous vous équiperez une seule fois. Attention, ces couches sont adaptées à la morphologie des bébés à partir de 5kg.
  • Couche lavable à tailles / multitailles : comme les couches jetables, quand bébé grandit et grossit, vous vous rééquipez avec une nouvelle taille. L’innovation a fait son œuvre : en général, il existe alors quatre tailles de couches lavables. Bien sûr ça coûte plus cher mais les couches sont mieux ajustées donc vous avez moins de risques de fuites.

Il existe même des couches lavables “spécial nouveau-né” à utiliser pour les petits poids de naissance et les prématurés.

Facilité de nettoyage

C’est l’argument clef qui a fait adopter à la plupart des mamans les couches jetables ! Finie la lessive des langes que nos mères se colletaient durant des heures. Parce que oui à l’époque, les tâches éducatives liées à la petite enfance étaient essentiellement dévolues aux femmes. (Ça change… pas aussi vite qu’on le souhaiterait…) Qui plus est, le lave-linge n’était pas partout présent (57% de foyers français équipés en 1970). On comprend dans ces conditions que les couches jetables aient été vues comme un miracle et une vraie libération.

Aujourd’hui, le lave-linge est présent dans 97% des foyers français. Et les pères sont plus impliqués dans le soin des enfants dès la toute petite enfance. Surtout les couches lavables d’aujourd’hui sont nettement plus pratiques que celles de nos aïeux (TE1). Certes les couches lavables nécessitent d’être lavées et donc cela prend du temps mais finalement plus autant que par le passé ! L’innovation est passée par là 😌

Expérimentez pour vous faire votre idée entre couches jetables et couches lavables

Tester en louant des couches lavables

Vous hésitez ? Vous pensez que vous n’êtes pas prêt(e)s à adopter les couches lavables ? Plutôt que d’investir de manière aveugle, des sociétés proposent aujourd’hui des couches lavables à la location. Du coup, avant de faire le pas de manière définitive, vous pouvez essayer et voir si cela vous convient. Une solution sans engagement et sans investissement financier important. C’est aussi pratique quand bébé naît avant terme et que les couches spéciales préma ne vont être nécessaires que quelques semaines… Enfin, cela peut aussi intéresser les parents qui sont déjà en mode lavable mais veulent tester un nouveau modèle de couches lavables. 🤣

Je n’ai moi-même pas testé. La plupart de ces sociétés proposent leur service de location de couches uniquement dans l’Hexagone. En général, vous avez le choix entre différents abonnements, avec ou sans lavage. Le prix varie également en fonction du nombre de couches lavables que vous souhaitez louer. L’idée est de souscrire pour 1 ou 2 mois. Après vous pouvez basculer en achetant définitivement vos couches lavables ou en résiliant votre abonnement.

Acheter d’occasion des couches lavables

Bien sûr ces sociétés vous proposent d’acheter ensuite vos couches lavables chez eux.

Vous pouvez aussi aller sur votre site de revente en ligne préféré ! Puisque le principe est d’utiliser des couches réutilisables, pourquoi ne pas commencer par se procurer des couches lavables usagées… mais nettoyées ! Vous pouvez aussi anticiper et faire quelques vide-greniers avant d’accoucher ! On trouve de plus en plus des couches lavables sur les stands improvisés. Pensez à demander autour de vous. Vous avez peut-être des amies qui ont choisi les lavables et pourraient vous les prêter !

Pourquoi ne pas essayer la mixité en fonction de l’âge de l’enfant

Quand j’ai eu ma Petite Crapule, j’étais un peu dans le tout ou rien. J’envisageais les choses certainement de manière un peu trop radicale. A la réflexion en suivant l’évolution du bébé, on se rend compte

  • qu’ils ne salissent vraiment beaucoup leurs couches qu’une fois qu’ils ont 6-8 mois. La diversification alimentaire modifie les selles qui prennent en odeur et en consistance. C’est pas ragoûtant mais c’est une réalité.
  • quand les enfants sont sur la fin de l’apprentissage de la propreté, ils s’oublient souvent pour l’urine. C’est le cas, quand ils ne sont pas encore propres la nuit.

Du coup, une solution intermédiaire qui émerge est de fonctionner en 3 phases :

  1. tant que le nourrisson boit uniquement du lait (maternel ou non) et que les couches sont peu sales, adopter les couches lavables ;
  2. durant la période où les couches sont très sales et où l’enfant n’est pas propre du tout, passer aux couches jetables ;
  3. revenir aux couches lavables sur la fin de l’apprentissage de la propreté.

Mon avis sur cette approche

Je regrette sincèrement de ne pas avoir testé moi-même cette solution. Je croyais en devenant maman que j’aurais des certitudes sur la bonne manière de faire. Et que si je prenais une option, je ne pouvais pas changer d’idée en cours de route… Pour les couches, comme pour bien d’autres aspects dans l’éducation, j’ai évolué. D’autant que je suis de plus en plus sensible à l’impact de mon comportement quotidien pour l’environnement.

Aujourd’hui cette approche me semble mesurée et évolutive. En effet, elle ne met pas la pression en se disant : je fais ce choix pour les 3 prochaines années, un point, c’est tout ! Ce qui peut s’avérer angoissant vu le saut dans l’inconnu que représente le fait de devenir parents.

En guise de conclusion

Bravo si vous êtes arrivés jusqu’ici ! Maintenant vous savez comment faire votre évaluation. Pour résumer, vous pouvez retenir :

  • du point de vue santé, lavable se positionne mieux même si jetable progresse;
  • financièrement, lavable gagne;
  • écologiquement, lavable gagne du point de vue déchets;
  • du point de vue pratique, jetable gagne mais lavable n’est pas ne reste.

Et si vous avez envie de tester, vous pouvez louer les couches lavables. Si cela vous semble trop compliqué, privilégiez les couches jetables les mieux produites. Enfin, n’oubliez pas que vous avez le droit de changer d’avis et mixer jetables et lavables !

Références et sources sur les couches

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Anne-Laure
Anne-Laure est la maman d'un petit garçon de 6 ans. Fondatrice de Petite Crapule, depuis sa grossesse elle n'a pas arrêté de s'informer sur la maternité et la parentalité. Elle partage ici ses recherches et expériences de maman blogeuse, entrepreneure et auteure.

2 réflexions au sujet de “Couches jetables ou couches lavables : 4 critères pour faire son choix”

  1. Vraiment bien d’aborder le côté praticité. Il y a effectivement beaucoup d’ignorants et j’en faisais partie jusqu’à ce que je participe à une réunion informative. Je ne repasse plus aux jetables sauf pour pour les vacances. Vivement que ce soit la norme.

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